Au revoir plastiques
- Une poêle en tôle d’acier (fer) >
Teflon(plastique), - Des casseroles en inox ou en fonte émaillée,
- Des ustensiles en bois,
- Une passoire en inox,
- Des saladiers en verre,
- De la vaisselle en faïence, en bambou.
OUI aux alternatives durables
- Des chiffons, des torchons, une serviette de table >
essuie-tout, - Des boites en inox ou des pots en verre de récup >
papier alu, film étirable, tupperware plastique,
- De la belle vaisselle >
assiettes et couverts jetables, - De la cire d’abeille ou du beurre et de la farine au fond du plat >
papier sulfurisé.
Achetez bio, en circuit court et en vrac au maximum
- Moins de transport, moins d’intermédiaires, plus de dynamisation économique pour le territoire (renforcée si vous avez une monnaie locale).
- Au marché, apportez votre panier ou vos sacs pour mettre vos fruits et légumes directement dedans.
- À l’épicerie, apportez des sacs en tissu ou des bocaux en verre (notamment pour les produits humides : olives, pâtes à tartiner…).
N’oubliez pas de tarer vos contenants (écrire le poids qu’ils pèsent à vide). - À la boulangerie avec un sac à pain ou à viennoiserie (tissu neuf ou de récup).
- À la crémerie avec des boites ou des pots en verre pour le beurre et le fromage.
- À la charcuterie avec des boites pour la viande.
- À la poissonnerie avec des boites pour le poisson.

À la caisse
Limitez le gaspillage alimentaire
- Recuisinez vos restes.
- Réemployez vos épluchures (cf. livre Les Épluchures Marie Cochard).
- Donnez ce que vous ne mangerez pas : la nourriture ne devrait jamais finir à la poubelle !
Buvez l’eau du robinet
- L’eau en bouteille contient des microbilles de plastique et représente un marché privatisé à notre insu : pourtant l’eau est vitale, notre corps en est composé à 70 %,
- Consulter la carte interactive de la qualité de l’eau,
- Filtrez-là si nécessaire avec un filtre familial,
- Incitons nos agriculteur⋅trice⋅s a passer en BIO, car les pesticides des champs polluent les nappes phréatiques.
Pour faire la vaisselle
- Utilisez un bloc de savon de Marseille*,
- Du bicarbonate de soude ou du marc de café pour récurer,
- Une brosse à vaisselle en bois,
- Une brosse pour les casseroles et poêle,
- Un tawashi.
* Savon de Marseille n’est pas une appellation contrôlée, aussi faut-il faire attention à son origine. Préférez le VRAI fabriqué au chaudron dans les Bouche-du-Rhône avec du sel, de la soude et 72 % d’huile végétale : huile d’olive et de coprah (dérivé de coco) pour le vert, huile de palme et de coprah pour le blanc. Les marques à privilégier : Marius Fabre, La Corvette (Savonnerie de Midi), La Maison du Savon de Marseille (Le Fer à Cheval) et Le Sérail.
Vous pensez que j’ai oublié quelque chose ? Dites-le-moi en commentaire 🙂
écrire le poiDS (plutôt que le poiNT) qu’ils pèsent à vide 😉
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ahah dislexie, dislexie ! merci 😉
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Ne pas mettre d’étiquettes sur les bocaux un feutre craie suffit ,c’est plus jolie et effaçable !
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